Ma vision

Avec simplicité, intégrité et professionnalisme, je vous guide à mieux vous comprendre afin de vous reconnecter à ce qui est essentiel pour vous etcréer une alimentation qui vous ressemble.

Comment je travaille

Nous regarderons votre situation dans son ensemble et trouverons des moyens simples de l’améliorer afin qu’elle soit plus facile à vivre et à maintenir.
Selon votre situation, il est possible de vivre une gamme d’émotions et je vous accompagnerai pour que les moments difficiles aies plus de légèreté.

Mes influences

Mon approche de la nutrition a été influencée par ma famille, mon travail humanitaire et la méditation.

Si vous venez partager un repas avec ma famille, il y aura probablement trois variations de la même salade et trois versions d’un plat classique, afin de satisfaire toutes les particularités alimentaires présentes autour de la table. Si vous n’aimez rien, quelqu’un se lèvera pour vous préparer un plat que vous apprécierez. Personne ne jugera vos choix alimentaires. Les conversations seront animées et, à la fin, chacun repartira avec des restes.

Pendant mes études en développement humanitaire, j’ai travaillé dans les bidonvilles au Panama et les villages reculés du Vietnam. C’est là que j’ai réalisé que la malnutrition prenait deux formes : certains devenaient obèses en consommant des aliments ultra-transformés, tandis que d’autres étaient très maigres faute de pouvoir se procurer du riz ou des crustacés. C’était l’émergence du double fardeau nutritionnel. L’ONG avec qui je travaillais s’intéressait à l’approche de la déviance positive, soit d’analyser les déterminants des enfants en santé de la communauté et les transférer au reste du groupe. Cette approche redonnait du pouvoir aux communautés pour prendre en charge la malnutrition. Cela m’inspire encore aujourd’hui dans ma pratique.

La nutrition m’a alors captivée. Je suis retournée à Montréal pour étudier en nutrition et devenir officiellement diététiste-nutritionniste.

Mes influences (suite)

À ma grande surprise, j’ai découvert un monde alimentaire qui ne correspondait pas à mes attentes. Il était axé sur le calcul de quantités, de calories, du respect de certaines portions. Les conseils étaient généraux et ne prenaient pas en compte les motivations individuelles à manger. Il n’y avait aucun cours obligatoire de psychologie ni de formation sur les troubles alimentaires. L’atmosphère laissait subtilement place au jugement. Les aliments à éviter étaient encerclés en rouge dans les journaux alimentaires. C’était l’époque des bons et des mauvais aliments. Je ne m’y reconnaissais pas, alors je me suis intéressée aux nouvelles approches en nutrition qui prenaient en compte les comportements alimentaires, les signaux de faim. Ces approches étaient marginales à l’époque.

C’est grâce à la méditation pleine conscience que j’ai intégré toutes mes connaissances en nutrition et que tout a pris sens pour moi, selon chaque individu. J’ai compris le fonctionnement de l’être humain. J’ai réalisé que nos expériences émotionnelles sont similaires tout au long de la vie, mais que chacun a sa propre histoire. J’ai commencé à partager des repas avec mes patients, à leurs faire vivre des expériences sensorielles lors des consultations et à m’intéresser à la manière dont ils développent un rapport alimentaire sain pour se sentir bien sans se nuire.

Manger est devenu un acte simple, assumé et compris.

Je ne mange pas comme vous, et vous ne mangerez pas comme moi. Nous reconnaissons nos façons uniques de manger pour nous sentir bien.

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